Félix Bossuet revient pour le rôle principal dans « Belle et Sébastien 2 »

Image extraite du film Belle et Sébastien, l'aventure continue.
© 2015 Gaumont Distribution

Félix Bossuet nous raconte son point de vue d’enfant sur le tournage de Belle et Sébastien : “personne ne rêve, tout le monde est dans l’action !”.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de participer à cette nouvelle aventure ?

Le premier film m’avait beaucoup plu et j’ai pensé que ce serait dans la continuité : j’étais très motivé pour participer au deuxième épisode. Plus tard, j’ai appris qu’il y aurait de nouveaux acteurs et j’avais hâte de les rencontrer !

Qu’as-tu pensé de l’histoire et de l’évolution de ton personnage ?

J’ai trouvé qu’on reconnaissait assez bien Sébastien, même s’il a un peu changé. Il a juste bien évolué mais il reste toujours aussi têtu. Il est surtout plus entouré et il va un peu plus vers les autres.

Il te ressemble ?

Pas tellement… Sauf au niveau physique évidemment ! Nous avons des caractères différents. C’est un enfant qui décide ce qu’il fait : il va où il veut et quand il veut. Il est complètement libre. Aujourd’hui, aucun enfant ne peut vivre de cette manière, surtout en ville.

Est-ce que c’était plus facile pour toi, étant donné que tu connaissais déjà la Haute Maurienne Vanoise ?

Au niveau de la météo, dans le premier épisode, on a eu très froid car on a tourné dans la neige. Dans le deuxième film, c’était plus difficile car il y avait plus d’action, beaucoup de feux de forêt et il faisait chaud.

As-tu retrouvé les mêmes chiens que sur le premier tournage ?

J’étais content de retrouver tous ceux que je connaissais déjà et il y en avait un nouveau en plus. En général, j’aime bien les animaux. On m’a quand même entraîné un peu pour que je n’aie pas trop peur des chiens qui étaient grands. J’ai aussi passé du temps avec eux pour apprendre à mieux les connaître avant le tournage. On m’a demandé de faire un certain parcours : le chien devait me suivre, ensuite je devais lui donner à manger, puis le caresser et accomplir toutes sortes de choses de façon à me rapprocher de lui.

Raconte-moi la scène avec l’ours.

Il ne m’a pas trop effrayé car il y avait des barrières de protection s’il décidait de charger l’équipe. Mais sans barrière, j’aurais eu très peur. Ce qui était amusant, c’est que les dresseurs lui donnaient à manger des chamallows.

Tu as fait la connaissance de Thierry Neuvic et de Thylane Blondeau. Comment cela s’est-il passé ?

Ça s’est super bien passé ! Thierry est très gentil et a beaucoup d’humour. En plus, quand il joue, on y croit vraiment car il y met beaucoup d’émotion ! C’était génial de tourner avec lui.

Pour Thylane, je crois que le plus difficile, c’était de parler avec un accent italien. Ce n’était pas habituel pour elle et il y avait beaucoup de scènes avec beaucoup de dialogues.

As-tu envie de continuer à faire du cinéma ?

Oui j’ai envie de continuer parce qu’on rencontre des tas de gens, des réalisateurs différents et de nouveaux acteurs. Les gens de l’équipe ne sont pas choisis par hasard : ils sont tous formidables. J’aimerais bien continuer des aventures comme celle-là. En tout cas, si ça ne marche pas pour moi, je sais que je ne veux pas devenir médecin !

Comment vois-tu une équipe de film ?

C’est toujours très actif. Il y a beaucoup de monde mais chacun sait ce qu’il doit faire au moment de tourner. Personne ne rêve. Tout le monde est dans l’action.

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