Félix Bossuet finit blessé pour une scène de « Belle et Sébastien 3 »

Image extraite du film Belle et Sebastien 3 - Le dernier chapitre.
© 2018 Christophe Brachet - Radar Films – Epithète Films – Gaumont – M6 Films – W9

Pour le troisième et dernier volet de la saga Belle et Sébastien, Félix Bossuet réincarne une dernière fois le personnage de Sébastien.

Qu’est-ce qui t’a donné envie de participer à cette troisième aventure ?

Tout ! J’ai trouvé l’histoire intéressante, j’avais envie de revoir l’équipe, le chien, les montagnes … et j’avais aussi très envie de rencontrer Clovis Cornillac que j’admirais déjà beaucoup en tant qu’acteur.

Qu’as-tu pensé du scénario ? As-tu trouvé qu’il faisait peur ?

Le méchant fait très peur et il est très bien incarné par Clovis. Quant au scénario, je le trouve hyper bien. J’aime beaucoup l’idée que ce soit Sébastien qui décide tout seul de protéger sa chienne qui est en danger mais je ne veux pas ‘’spoiler’’, alors je n’en dis pas plus… (rires)

En quoi ton personnage a-t-il évolué ?

D’abord il a grandi. Il a 12 ans, donc il est plus mûr, plus autonome. Il se prend en main tout seul comme un grand. Il n’a plus besoin de personne.

As-tu eu le sentiment que c’était encore plus facile pour toi de te glisser dans la peau de Sébastien après les deux premiers tournages ?

Oui bien sûr ! Je ne découvrais pas le personnage, mais je le retrouvais après une petite pause de 2 ans. Une fois que je me suis retrouvé dans le décor, que j’étais dans les habits de Sébastien et que j’étais avec le chien, c’était bien plus simple.

Comment se sont passés tes rapports avec Clovis Cornillac en tant qu’acteur ?

C’est un acteur génial ! Et du coup en tant que réalisateur, je pense que ça lui était encore plus facile de diriger les acteurs parce qu’il connaît bien le métier, il sait exactement ce qu’il veut. Il écoute autant ses acteurs que son équipe.

Est-ce qu’il était effrayant avec son faux nez, son faux crâne chauve et son chapeau ?

Oui, sa transformation était impressionnante ! Je pense que si je le croisais dans la rue en vrai, je changerais vite de trottoir !

Est-il très différent de Nicolas Vanier et Christian Duguay comme réalisateur ?

Oui les 3 réalisateurs avec qui j’ai eu la chance de travailler avaient chacun leur propre façon de faire. J’ai beaucoup appris à leurs côtés et j’ai eu vraiment beaucoup de chance de pouvoir travailler avec eux.

Parle-moi de tes retrouvailles avec les chiens. Y en avait-il de nouveaux ?

Il y a Isabeau qui a rejoint les 3 chiens mâles. C’est une femelle et c’était mieux pour les scènes avec les chiots. Sinon c’est toujours les mêmes depuis le premier BELLE ET SÉBASTIEN. Garfield, Fort et Fripon.

Tu as dû affronter le froid. Comment cela s’est-il passé ?

Oui il a fait très froid ! Comme pour la partie hiver du premier BELLE ET SÉBASTIEN. Heureusement que la costumière veillait à ce que je n’aie jamais froid. Elle mettait des semelles chauffantes dans mes chaussures. Ça ne se voyait pas à l’image et ça permet de maintenir le corps bien au chaud.

Qu’est-ce qui t’a semblé le plus difficile sur ce tournage ?

Je dirais que les scènes de nuit étaient les plus difficiles parce qu’il faisait encore plus froid ! Et puis le soir on est plus fatigué parce qu’on a déjà une journée dans les pattes. Il y a eu aussi la scène où je devais sortir de l’igloo mais je n’y arrivais pas car il était complètement gelé : on a dû la refaire 4 fois, à la fin j’avais les doigts gelés et en sang !

Au final, qu’as-tu pensé du film ?

Je l’ai trouvé super, il y a de l’émotion, de l’action, de la tendresse, de l’humour… On y retrouve tous les personnages qui ont compté dans l’histoire. C’est un film qui clôture très bien la trilogie de BELLE ET SÉBASTIEN.

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