Guide parental

Titina

Résumé

Umberto Nobile, ingénieur aéronautique italien et concepteur de dirigeables, mène une vie tranquille avec sa chienne bien-aimée Titina, qui l’a charmé au point qu’il l’a recueillie alors qu’elle vivait à la dure dans les rues de Rome. Un jour, le célébrissime explorateur norvégien Roald Amundsen le contacte et lui commande un dirigeable pour aller conquérir le pôle Nord. Nobile saisit l’occasion d’entrer dans l’histoire. Il emmène Titina avec lui, et l’improbable trio part en expédition vers le dernier endroit à découvrir sur la Terre. Leur quête est couronnée de succès mais, par la suite, les deux hommes commencent à se disputer la gloire… À travers les yeux de Titina, la star à quatre pattes, (re)découvrez une histoire véridique de triomphe et de défaite.

Guide parental :

Ce récit inspiré d’événements historiques, décrit l’ambiance bon enfant des grandes expéditions du début du 20ème siècle, à la conquête des derniers territoires inexplorés. Mais derrière la fable convenue de l’histoire, des luttes d’égaux féroces conduisent nos héros à des destins tragiques. Le film avec un brin de surréalisme s’aventure vers le conte moral, tout en apesanteur, sur les dangers de céder aux sirènes de la notoriété.

Titina, pour quel âge ?
Ce récit peut convenir à partir de 9 ans. Il pourra être vu dès 8 ans. Comme il ne comporte pas de problèmes, les plus jeunes pourront suivre le récit, sans la nécessité de comprendre tous les enjeux interpersonnels, qui demandent plus de maturité.

À signaler :
– Alcool/Drogue : Un personnage fume la pipe. Un chien respire du gaz et fait des hallucinations.
– Autres : Deux accidents de dirigeables qui s’écrasent, avec des blessés. Des rescapés d’un accident attendent d’être secourus sur la banquise, ils sont retrouvés. Des personnages envisagent de manger un chien, ils renoncent. Un personnage perd la vie en avion, mais on ne voit pas l’accident. Un homme âgé décède.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

L’OBS : Entrecoupée d’images d’archive, l’animation redonne un souffle épique à cette odyssée de l’extrême. Toute en plongée et contreplongées vertigineuses, la mise en scène nous subjugue.
TELERAMA : Le survol en dirigeable du pôle Nord, en 1926, raconté avec réalisme, poésie et une pointe de satire.
LE FIGARO : D’un charme fou, le film insuffle ses machines volantes et ses déserts arctiques d’un enchantement continu. Des orgueils battus et une amitié chavirée troublent les délices du voyage. Ce chant du cygne des grandes explorations a la beauté amère.