Guide parental

Panda petit panda

Résumé

Une petite orpheline découvre un bébé panda et son papa installés dans sa maison… Très vite, ils deviennent les meilleurs amis du monde… Composé de deux moyens métrages, un petit bijou d’animation riche et inventif qui séduira les tout-petits…

Guide parental :

Depuis sa sortie en 1973, Panda Petit Panda continue d’émerveiller les enfants à travers le monde. Œuvre de jeunesse des grands Miyazaki et Takahata, ce film, composé de deux moyens métrages, nous plonge dans un univers plein de poésie, d’innocence et de fraîcheur. Entre ordinaire et extraordinaire, nous nous laissons porter par la naissance d’une amitié réconfortante entre une petite orpheline qui rêve d’avoir une famille, et deux pandas à la recherche d’un foyer aimant. On découvre des personnages drôles et attachants, des péripéties palpitantes et une morale bienveillante sur l’acceptation de l’autre. Une merveille de tendresse qui fait vibrer notre âme d’enfant.

Panda petit panda, pour quel âge ?
Ce film totalement bienveillant peut convenir à partir de 5 ans. Il pourra être vu dès 4 ans, selon l’appréciation des parents.

À signaler :
– Alcool/Drogue : Un panda fume une pipe et déclare « le tabac est bon ».
– Autres : Une fillette attend impatiemment que des cambrioleurs viennent dans sa maison. Un bébé panda manque de se noyer en tombant dans une chute d’eau.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

CRITIKAT : Takahata et Miyazaki jettent un regard fin sur des problématiques de société qui restent très actuelles. Qu’ils proposent comme alternative la fantaisie et le rêve paraît bien être la réponse la plus pertinente à la morosité ambiante.
LE MONDE : Les deux cinéastes (…) font du panda le héros de leurs deux films, en l’employant comme une intrusion fantastique bienfaisante dans un univers quotidien traversé par la peur enfantine et la solitude des êtres.
DVDRAMA : (…) un univers riche, inventif et foisonnant. (…) Panda petit panda fait vibrer l’âme d’enfant naïf enfouie au plus profond de chacun de nous sans jamais être ni trop mièvre, ni trop simpliste.