Guide parental

Le peuple migrateur

Résumé

L’histoire des oiseaux migrateurs est celle d’une promesse… la promesse du retour. L’arrivée du printemps dans l’hémisphère nord rend à nouveau accessibles les hautes terres de l’Arctique où se reproduisent de nombreux migrateurs. Mais aux environs du pôle nord, l’été est bref et l’automne sonne vite l’heure des grands départs vers les contrées plus clémentes du sud, jusqu’aux tropiques. Ils reviendront, par nécessité… pour survivre.

Guide parental :

Nommé aux Oscars en 2003, ce film nous invite à voler autour du monde avec des oiseaux en migration. Le récit sans commentaire est un appel à la contemplation et à la découverte, où les images suffisent à exprimer les dangers auxquels ces oiseaux font face. Une ode à la nature qui interroge la place des humains dans l’écosystème et les conséquences de nos activités sur un cycle millénaire.

Le peuple migrateur, pour quel âge ?
Ce film peut convenir à partir de 7 ans. Il pourra être vu dès 6 ans, selon l’appréciation des parents, compte tenu des éléments signalés.

À signaler :
– Violence : Des chasseurs tirent sur des oiseaux.
– Autres : La migration est longue et intense, certains oiseaux sont épuisés et finissent par se laisser mourir, ou se font attaquer par des prédateurs. Un canard reste collé dans de la glue. Des oiseaux sont coincés dans de la boue polluée.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

LE PARISIEN : (…) le spectateur met un temps fou à replier les ailes du rêve. Ces oiseaux lui ont donné du bonheur. Oui, il a les yeux humides et le coeur troublé. Comme s’il avait assisté, aux premières loges, au premier vrai spectacle mêlant l’aventure, le drame et la comédie. Rien d’autre que l’aventure de la vie.
LE FIGAROSCOPE : Le Peuple migrateur est tout autre chose qu’un documentaire. Avec les oiseaux pour vedettes, des gros, des marrants, des excentriques, des timides (…), le film vole dans les hautes sphères de l’imaginaire, s’offre quelques comiques descentes en piqué.
TELERAMA : Au prix d’un effort colossal, le pari de la légèreté, de la liberté et de l’immensité est gagné : on ne fait pas que regarder passer les cigognes ou les albatros, on part avec eux.