Guide parental

Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban

Résumé

Sirius Black, un dangereux sorcier criminel, s’échappe de la sombre prison d’Azkaban avec un seul et unique but : retrouver Harry Potter, en troisième année à l’école de Poudlard. Selon la légende, Black aurait jadis livré les parents du jeune sorcier à leur assassin, Lord Voldemort, et serait maintenant déterminé à tuer Harry…

Guide parental :

Avec ce troisième récit de la saga, Harry Potter découvre que le mal peut aussi se manifester en lui et sa moralité est mise à rude épreuve. Les peurs, si elles ne sont pas surmontées, peuvent devenir les outils des forces du Mal. Plus qu’une leçon de courage, cette aventure est une découverte, sur la vraie nature de ceux qui cachent sous une apparence défavorable, un cœur pur. Un opus sombre qui conviendra aux adolescents.

Harry Potter et le prisonnier D’Azkaban, pour quel âge ?
Ce film peut convenir à partir de 13 ans. Il pourra être vu dès 12 ans, selon l’appréciation des parents en fonction de la sensibilité et de la maturité des enfants.

À signaler :
– Violence : Des êtres fantomatiques qui aspirent la vie apparaissent dès le début du récit, puis à plusieurs reprises, de plus en plus nombreux. Combat spectaculaire avec un loup garou, puis poursuite à suspens dans une forêt lugubre.
– Autres : La menace d’un tueur en série hante le récit. De nombreuses situations et effets spéciaux font sursauter les personnages et le spectateur : livre des Monstres qui s’ouvre brusquement, énorme chien noir qui surgit, photos magiques animées avec un personnage hurlant. Un arbre magique malveillant s’en prend aux héros dans une scène d’action intense. De nouvelles créatures magiques participent au récit : loup-garou, tête réduite parlante, grosse araignée, Epouvantard, Hippogriffe. Ambiance sombre et personnages malsains dans un bus magique. Un animal magique est condamné à mort, un bourreau lève sa hache puis on entend le bruit de la tête coupée.

Activités en lien avec le film

La presse en parle :

ECRAN FANTASTIQUE : Ce troisième volet jour la carte de la maturité à tous les niveaux contrairement aux deux précédents. Alfonso Cuaron développe la dimension psychologique du film et apporte ainsi une profondeur supplémentaire. Harry Potter et le prisonnier d’Akzhatan est une oeuvre autonome qui a su trouver son propre rythme et sa propre dynamique.
CAHIERS DU CINEMA : Une véritable réussite.
L’OBS : (…) ce troisième volet des aventures du soricer en herbe s’impose comme nettement supérieur aux deux précédents. (…) Comme le héros, la licence mûrit et s’épanouit. Notre plaisir avec.
LE PARISIEN : En prenant les commandes de ce troisième épisode, le réalisateur mexicain Alfonso Cuarón évoque de fort belle manière, et avec modernité, le passage à l’adolescence. (…) La magie opère à nouveau, et le suspense est garanti (…). On sort de là ensorcelé et heureux.